Style de management:conclusion
1. Chacun a tendance à considérer sa façon de travailler comme la meilleure. Lorsqu’une
autre personne, collègue ou collaborateur, agit différemment, cela fait souvent naître une
impression d’inconfort - au point d’entraîner parfois un jugement négatif.
Un jugement peut devenir positif dès l’instant où l’on comprend les talents et les points
forts de ceux qui nous entourent et qui n’agissent pas comme nous.
2. Nous savons définir nos aptitudes et celles des autres, nous serons sans doute capables
d’identifier quelques unes de nos capacités ignorées. Par exemple, un réfléchi s’intéresse
avant tout à la tâche qu’il faut accomplir. C’est positif sauf s’il travaille avec un expansif
ou un coopérant qui comptent, du moins dans les débuts, sur l’établissement de bonnes
relations. Pour le réfléchi, le message à capter est le suivant:
<Il faudrait peut-être que je m’attache à exploiter mes aptitudes sociales>
Pour l’expansif, la situation est probablement inverse.
3. Pour gagner en maturité ou pour élargir sa zone de confort, il faut tirer un enseignement de
ses contraires. L’acheminement vers la maturité impose aussi de quitter sa zone de confort
pour répondre à l’attente des autres, comme le réfléchi, qui abandonne le confort de son
intérêt pour la tâche à accomplir afin de s’orienter vers les relations avec un expansif
Sortir de sa zone de confort peut être source de tensions initiales. Il importe donc de comprendre la tension, d’apprendre à la reconnaître en soi et chez les autres, et surtout à la maîtriser.
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